On ne sait pas toujours que penser, que Realiser ni comment reagir lorsqu’un ami, une connaissance ou votre collegue est touche avec le cancer. On hesite dans l’attitude a adopter, on ne deniche jamais des mots – qui semblent soudain derisoires.
Comment savoir si les paroles seront beaucoup comprises, correctement interpretees ? Parfois, on est alors tente d’eviter le webmaster et de fuir le contact. A tort, car de nombreux temoignages de patients atteints d’un cancer prouvent que les manifestations de soutien seront particulierement benefiques concernant le bien-etre psychologique et, plus largement, pour le processus de guerison.
Le sentiment reconfortant de ne pas etre seul et le fait de savoir que l’on peut compter concernant une aide concrete, une oreille attentive ou une epaule bienveillante paraissent autant de bouees d’espoir auxquelles se raccrocher au c?ur d’une tempete !
Voici des lors plusieurs « astuces » indispensables Afin de plus communiquer.
Briser la glace
Parler n’est pas forcement enfantin. Le cancer reste un diagnostic lourd, une maladie potentiellement mortelle qui suscite le lot de questions existentielles. Vous trouvez difficilement nos « petits » mots, vous vous sentez en gali?re a l’aise. Sachez qu’il n’y a aucune honte a avouer bien simplement que vous ne savez nullement quoi penser. Si vous etes tente d’eviter le webmaster, sachez aussi qu’elle ressentira une telle indifference feinte de maniere douloureuse.
Ne reduisez pas la personne a sa maladie ni a son etat de patient ; misez plutot concernant le lien de confiance qui vous unit. De nombreux « patients » soulignent combien c’est essentiel pour eux de rester l’ami, le collegue, le partenaire, la mere, le coloc’, le cycliste du dimanche… qu’ils etaient avant le diagnostic. Au-dela de l’etiquette « patient cancereux », tous menchats online demeure avant tout un homme, une femme. Vous aviez l’habitude de vous retrouver pour ecouter d’la musique ? D’effectuer des balades ensemble ? Ne changez surtout que dalle !
Notre cancer ne doit nullement devenir votre unique theme de conversation. Laissez-vous juste guider par votre que la personne veut bien vous confier ou via ses besoins du moment. Le simple fera d’etre la ainsi que partager votre qu’elle vit, meme sans parler, de lui offrir une ecoute attentive, reste desfois le plus precieux des cadeaux.
Et son pouce au moral n’etant pas superflu, n’hesitez nullement a lui faire savoir que vous pensez a elle, par un petit message ou deux mots.
Garder le contact
Souvent, les personnes qui viennent d’etre diagnostiquees paraissent tres entourees, encouragees, epaulees. Puis les contacts se rarefient avec moyen. La personne va se retrouver isolee, surtout quand sa maladie l’oblige a interrompre son article ou quand la fatigue des traitements se fait sentir.
Les messages pleins de bonnes intentions – du genre « n’hesite jamais a me penser si tu as besoin de quoi que votre soit » ou « appelle-moi en cas de besoin » – font rarement mouche car ils obligent l’individu a prendre l’initiative en demande. Cela, justement, est le plus difficile a faire ! N’hesitez donc nullement a prendre regulierement de ses nouvelles, a donner un signe de vie, a laisser la a ouverte Afin de bavarder quand i§a en eprouve le besoin. Et n’oubliez nullement qu’en raison d’une fatigue, la specialite d’une visite l’emporte sur le temps.
Au-dela des mots
Outre une oreille attentive et une epaule reconfortante, pensez a proposer une aide pratique et pragmatique. Ici aussi, oubliez nos formules bien intentionnees et proposez votre aide en facon la plus concrete possible. Plus ce suggestion est factuelle, plus elle aura de chance d’etre acceptee.
Proposez par exemple d’aller chercher les enfants a l’ecole le mardi et de les conduire au sport, ou apportez un plat a rechauffer Afin de decharger le malade (ou son/sa partenaire) d’une corvee du jardinage ou d’une preparation du repas.
Au « fais-moi savoir si je peux faire quelque chose concernant t’aider », preferez le « votre semaine, je t’apporte un bon petit plat que tu n’auras qu’a rechauffer. Quel jour preferes-tu ? ».
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